Divina Commedia I Nove Cerchi(Play'n GO)

Divina Commedia I Nove Cerchi (Play’n GO) : l’enfer selon Dante, version machine à sous

Divina Commedia I Nove Cerchi est une machine à sous Play’n GO qui reprend l’esthétique infernale de la Divine Comédie de Dante, avec ses démons tricéphales, ses flammes éternelles et ses cercles de damnés. On est dans une ambiance dark-fantasy assumée : vitraux brisés, chants choraux, lanternes spectrales et bestiaire démoniaque.

Sur le plan technique, on est sur une grille 5×3 avec 10 lignes de paiement fixes – un format lisible et classique, facile à prendre en main même si vous découvrez le jeu. La machine fonctionne sur une volatilité moyenne, avec un RTP qui peut monter jusqu’à 96.2% selon la version proposée par le casino en ligne. Les mises vont d’environ 0,10 € à 100 € par spin, ce qui laisse de la marge aussi bien pour les bankrolls modestes que pour les sessions plus agressives.

Le potentiel max annoncé est d’environ 3 000× la mise, donc on n’est pas dans l’extrême (type 10 000×+), mais plutôt dans un profil “rythme soutenu, pics raisonnables”.

Comment on gagne : symboles, lignes et valeurs

Dans Divina Commedia I Nove Cerchi, les gains se forment en alignant des symboles identiques de gauche à droite le long des 10 lignes. Les plus gros paiements viennent des créatures infernales et des figures majeures, tandis que les lettres rapportent moins.

Les symboles Premium :

• Les démons et damnés rapportent le plus.
• Le personnage marqué d’une aura dorée (style figure héroïque / damnée noble) et la bête cornue sont tout en haut de l’échelle de paiement.
• Viennent ensuite les créatures monstrueuses (loups démoniaques, esprits gelés).

Les symboles Low :

• Les lettres A, K, Q, J, X paient moins, mais ressortent souvent pour alimenter les petites connexions.

Le symbole Wild (le grimoire brûlant) est crucial ici :

• Il remplace tous les symboles payants standards, ce qui aide à compléter les lignes.
• Il paie lui-même très fort : jusqu’à 400× la mise pour une ligne complète de 5 Wilds d’après la table de paiement.

Voici un aperçu simplifié des ordres de grandeur (pour 3 / 4 / 5 symboles alignés) :

Note : ces valeurs viennent de la table de paiement interne et sont exprimées en équivalent multiplicateur sur la mise de ligne / mise totale selon le niveau de mise sélectionné. Les ordres de grandeur montrent bien la hiérarchie : Premiums > lettres, et les Wilds tout en haut.

Free Spins : lanternes, progression et montée en tension

Le mode Free Spins est le cœur du jeu bonus dans Divina Commedia I Nove Cerchi. On peut le déclencher via les symboles scatter (le personnage auréolé façon “guide” / “âme marquée”), qui ouvrent la porte à une séquence de tours gratuits.

Ce qu’il faut retenir :

• Vous recevez une allocation initiale de tours gratuits (par exemple 9 Free Spins affichés au lancement du bonus).
• Pendant ces Free Spins, le jeu introduit une mécanique de progression par Lanternes.
  • Chaque Lanterne collectée sert à “avancer” dans la structure du bonus.
  • Avancer renforce les modificateurs en place, comme si vous plongiez cercle après cercle.
• Cette progression peut améliorer les réponses visuelles et les effets sur les rouleaux : plus de symboles Premium présents, connexions plus faciles, gains qui se répètent plus souvent.
• Les Wilds restent actifs pendant le bonus et peuvent venir verrouiller des lignes très correctes, parce qu’ils continuent à remplacer tous les symboles normaux et qu’ils gardent leur propre pouvoir de paiement élevé.
• Des modificateurs peuvent apparaître d’un spin à l’autre (ex : effets visuels infernaux, boosts liés au cercle où vous vous trouvez) pour faire grimper la pression.

En clair : le Free Spins n’est pas seulement “x tours gratuits”. C’est un mini-arc narratif où vous ramassez des Lanternes pour libérer des améliorations successives. Plus vous survivez longtemps dans ce mode, plus l’écran est capable de cracher de vrais chiffres.

👉 Astuce bankroll : quand vous entrez en Free Spins, jouez-le en vitesse normale la première fois pour bien lire comment les Lanternes progressent et comment les symboles Premium se densifient. Ça aide à comprendre d’où viennent les gros écrans.

Quand l’enfer paie : pics et “Big Win”

Même si le plafond théorique reste autour de 3 000× la mise, Divina Commedia I Nove Cerchi est tout à fait capable de lancer de gros pics en cours de bonus, surtout quand :

• les Wilds s’alignent sur plusieurs lignes en même temps,
• les symboles Premium (les grosses figures démoniaques) se connectent proprement sur plusieurs rouleaux,
• la montée des Free Spins via les Lanternes vous amène dans une zone plus généreuse où les écrans sont chargés.

Visuellement, le jeu le met en scène sans détour : l’écran se couvre de flammes, les silhouettes démoniaques surgissent au-dessus des rouleaux et l’indicateur BIG WIN claque en plein centre avec un total qui grimpe. C’est cette combinaison – setup simple (5×3, 10 lignes) + bonus progressif lisible + visuels très marqués – qui rend le slot agréable à grinder.

On n’est pas dans l’hyper-volatilité à 10 000×+, mais le jeu récompense les séquences qui durent, en particulier quand vos Free Spins s’étirent et que la “descente aux enfers” continue de se renforcer spin après spin.

Verdict final

Divina Commedia I Nove Cerchi, c’est Play’n GO qui fait du Play’n GO : un thème fort tiré d’un imaginaire clair (ici, l’Enfer de Dante), une matrice lisible 5×3 / 10 lignes, un RTP pouvant aller jusqu’à 96.2%, des mises flexibles (≈0,10 € à 100 €), et un bonus structuré autour d’une vraie montée dramatique via les Lanternes.

Côté gameplay pur, ce n’est pas la machine à sous la plus explosive du marché, le plafond de 3 000× reste modéré comparé aux monstres à 10 000× ou 20 000×. Mais pour les joueurs qui aiment :

• les slots à ambiance forte façon dark fantasy,
• les Free Spins qui progressent au lieu d’être juste “10 tours et c’est fini”,
• et les configurations classiques faciles à suivre,

c’est un titre cohérent, immersif, et suffisamment nerveux pour tenir une session complète sans perdre le fil.