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Hammerstorm : notre test complet

Hammerstorm (Pragmatic Play) revisite la mythologie nordique dans une mise en scène claire et nerveuse : grille 5×3, 40 lignes, RTP ~96,5 %, volatilité élevée, mises 0,20–240 € et plafond 10 000×. Le jeu mise sur un cycle base game → respins où la grille s’enflamme quand Thor et les éclairs se répondent. L’objectif ? Accrocher des multiplicateurs, rallonger la séquence et faire traverser des premiums au centre.

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Symboles & valeurs : ce qui pèse sur 40 lignes

Lecture gauche → droite. Les premiums portent la valeur ; les royaux stabilisent les petites connexions. Le Wild substitue, le Scatter/Lightning alimente la montée vers les respins.

Repères indicatifs pour situer l’échelle : l’impact réel vient surtout des multiplicateurs pendant les features.

Le moteur de jeu : respins, multiplicateurs et “pots” de collection

La boucle est simple et efficace : des symboles Éclair en base game peuvent activer des respins quand ils croisent Thor. Une fois lancée, la séquence applique des modificateurs (ex. wilds additionnels, upgrades de multiplicateurs, positions améliorées) et peut se prolonger si d’autres éclairs/collectes interviennent.
Au fil des tours, un système de pots de collection (compteurs persistants de la feature) se remplit avec des symboles dédiés ; atteindre un seuil renforce les respins suivants (plus de wilds, multis plus élevés, rallonges de spin). C’est là que Hammerstorm se distingue : la valeur s’empile plutôt qu’elle ne tombe d’un coup, et l’on “sent” le palier arriver.

Respins en pratique : comment la grille s’emballe

Quand le combo Thor + Éclairs déclenche la feature, vous entrez dans une série de respins où :

• des wilds supplémentaires peuvent se poser sur les reels centraux (2–4) pour créer un pont ;
• des multiplicateurs s’appliquent aux connexions touchées, avec possibilité de montée d’un respin à l’autre ;
• la collection engrangée en amont injecte des boosts (positions marquées, symboles améliorés, rallonge de compteur).
  Le ressenti est celui d’un build-up : un premier respin correct, puis un deuxième qui pose un wild clé, puis un troisième où le multi grimpe et la ligne premium traverse la zone chauffée. C’est cette addition de micro-événements qui fabrique les meilleurs écrans.

Rythme & bankroll : jouer la montée plutôt que le coup de chance

Sur un titre hautement volatil, jouez par blocs de 100–150 spins pour laisser au duo Éclairs/Thor le temps d’apparaître ensemble. Gardez une mise stable ; augmentez d’un petit palier après un pic notable (≈ 100×), puis revenez à l’initiale si les respins se raréfient. Évitez de “poursuivre” une mauvaise séquence : l’intérêt d’Hammerstorm vient des runs où la feature se présente plusieurs fois dans le même bloc.

Big win : le schéma qui fait sauter le compteur

Les gains majeurs surviennent lorsque :

1. un pont de wilds s’installe sur 2–3 bobines centrales,
2. les multiplicateurs progressent au fil des respins,
3. un premium (Thor/Marteau) traverse ce pont sur plusieurs lignes.
   Cette superposition (lignes × wilds × multis × répétitions) transforme une bonne rotation en spike. Un dernier respin qui ajoute un wild au reel 3 ou hausse le multi d’un cran suffit souvent à doubler la note.

Verdict

Hammerstorm capitalise sur une lecture lisible (40 lignes, symboles repères clairs) et un cycle respins + collection qui réveille la grille sans la complexifier. Le RTP ~96,5 % et le plafond 10 000× donnent de la profondeur, mais la volatilité élevée impose une gestion de rythme. Si vous aimez les slots où l’on construit la valeur avant de la déclencher, celui-ci tient la distance — avec des pics très propres quand Thor fait parler l’orage.

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